La Fondation Burotop Iris modernise un amphithéâtre clé de l’Université Marien Ngouabi

La Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Marien Ngouabi vient de bénéficier d’une importante opération de réhabilitation grâce à la Fondation Burotop Iris, qui poursuit son engagement en faveur de l’éducation congolaise. Les travaux, désormais achevés, redonnent vie à un amphithéâtre longtemps marqué par la vétusté.

Lors de la réception officielle, le professeur Basile Bossoto, cadre de la faculté, a salué une intervention jugée déterminante pour les conditions d’apprentissage. « L’action posée par la Fondation Burotop Iris allège les conditions d’étude des étudiants, qui peuvent désormais suivre leurs cours dans des conditions optimales », a-t-il indiqué, rappelant que les infrastructures étaient auparavant dans un état peu propice à l’enseignement.

La Fondation, représentée par sa Responsable des Opérations, Romaine Gangoyi, a remis les clés de l’ouvrage en réaffirmant son engagement en matière de responsabilité sociétale. « Par ce geste, notre Fondation entend améliorer le cadre éducatif, consciente que l’investissement dans l’éducation constitue l’un des piliers du développement durable », a-t-il déclaré.

La réhabilitation a porté sur la rénovation des peintures, la remise à niveau des installations électriques, la climatisation, la sonorisation, ainsi que la fourniture de mobiliers et d’équipements pédagogiques. Un investissement salué par la communauté éducative, qui voit dans cette initiative un signal encourageant pour la modernisation du secteur.

Les étudiants, eux, se disent particulièrement satisfaits du rétablissement complet du réseau électrique, indispensable à la tenue des travaux pratiques. Une amélioration qui pourrait se traduire, selon plusieurs d’entre eux, par de meilleurs résultats académiques dans les mois à venir.

Alors que l’Université Marien Ngouabi fait face à d’importants défis d’infrastructures, ce soutien extérieur rappelle l’importance des partenariats pour relever le niveau de l’enseignement supérieur au Congo.

Léna Keïra